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Pas le sou, un jour de Chaumière

Pas le sou, un jour de Chaumière (1839-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Etude du matin

Etude du matin (1839-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Le spectacle, était-ce bien. Il m’a fallu payer place entière

Le spectacle, était-ce bien. Il m’a fallu payer place entière (1838-1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
A Montmartre

A Montmartre

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
L’Intolérance est fille des faux Dieux

L’Intolérance est fille des faux Dieux (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Vois-tu, ma petite, quand un amoureux commence à devenir dangereux. et on fait des bêtises

Vois-tu, ma petite, quand un amoureux commence à devenir dangereux. et on fait des bêtises (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Mon petit homme faut être raisonnable

Mon petit homme faut être raisonnable

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Toi je te repigerai

Toi je te repigerai (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Est-ce que c’est vrai Monsieur le Marquis, que vous êtes toujours obligé de regarder en Bourgogne si la Champagne brul

Est-ce que c’est vrai Monsieur le Marquis, que vous êtes toujours obligé de regarder en Bourgogne si la Champagne brul (1838-1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
C’est égal, je trouve que le Parrain de la petite vient trop chez nous.. en v’là encore une creuse

C’est égal, je trouve que le Parrain de la petite vient trop chez nous.. en v’là encore une creuse (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Mon tuteur avait voulu que nous allassions passer dans notre terre du Dauphiné les derniers jours d’été de cette année

Mon tuteur avait voulu que nous allassions passer dans notre terre du Dauphiné les derniers jours d’été de cette année

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Ton Alfred est un gueux

Ton Alfred est un gueux (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Eh Mon cher ne te plains pas Tu seras médecin, de serai procureur du roi

Eh Mon cher ne te plains pas Tu seras médecin, de serai procureur du roi (1839-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Machère, comment peux-tu supporter un homme qui pipe toute la journée dans des horreurs de machines comme ça.

Machère, comment peux-tu supporter un homme qui pipe toute la journée dans des horreurs de machines comme ça. (1839-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Allons, Mon vieux Vautour, il faut m’escompter ces petits trois cents francs là

Allons, Mon vieux Vautour, il faut m’escompter ces petits trois cents francs là (1840-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Quand je pense que Monsieur Coquardeau va être mon mari, ça me fait de la peine pour Alexandre. Et à moi, pour Coqua

Quand je pense que Monsieur Coquardeau va être mon mari, ça me fait de la peine pour Alexandre. Et à moi, pour Coqua (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Monsieur n’est-ce pas que ça n’est pas vrai, que vous n’avez pas les cheveux peints

Monsieur n’est-ce pas que ça n’est pas vrai, que vous n’avez pas les cheveux peints (1838-1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Eh Parbleu, c’est chez mademoiselle de Beaupertuis que j’ai eu l’honneur de faire votre connaissance

Eh Parbleu, c’est chez mademoiselle de Beaupertuis que j’ai eu l’honneur de faire votre connaissance

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Vois-tu Julien Vois-tu Julien. Je vais faire des bêtises

Vois-tu Julien Vois-tu Julien. Je vais faire des bêtises (1840-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Que tu es donc godiche, Tomon. puisque tu vas faire banqueroute, bête

Que tu es donc godiche, Tomon. puisque tu vas faire banqueroute, bête (1838-1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Une enfant une enfant, Mosieu, dont je me croyais, avant hier encore, le premier et le seul amour Si vous avez été

Une enfant une enfant, Mosieu, dont je me croyais, avant hier encore, le premier et le seul amour Si vous avez été (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
V’là un gueux de petit pékin qui se divertit au bal

V’là un gueux de petit pékin qui se divertit au bal (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Tu ne la reconnais pas L’ancienne à Badinguet Une belle blonde

Tu ne la reconnais pas L’ancienne à Badinguet Une belle blonde (1839-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Avoir perdu ses plus belles années, tout ce qu’on avait d’illusion, de simplicité de coeur, beauté. jeunesse

Avoir perdu ses plus belles années, tout ce qu’on avait d’illusion, de simplicité de coeur, beauté. jeunesse

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Tu mettras plus jamais ton chapeau qui sent la pipe, n’est pas m’man

Tu mettras plus jamais ton chapeau qui sent la pipe, n’est pas m’man (1838-1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Maman va venir, pas tout de suite elle est avec Madame Pelet. moi j’en ai pas

Maman va venir, pas tout de suite elle est avec Madame Pelet. moi j’en ai pas (1838-1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
-. une douzaine d’huîtres et mon coeur. – Ta parole

-. une douzaine d’huîtres et mon coeur. – Ta parole (1840)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Un petit homme qui avait l’air si sentimental

Un petit homme qui avait l’air si sentimental

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Les lettres de l’ancienne

Les lettres de l’ancienne (1839-1841)

Paul Gavarni (French, 1804-1866)
Je vous ai sonné trois fois Robinson

Je vous ai sonné trois fois Robinson

Paul Gavarni (French, 1804-1866)